Vente, location, installation, complètent d'extincteurs et vérification conformes aux exigences des lois françaises et norme NF S61-919.
Nous assurons l'installation, la vérification des blocs de secours autonomes pour votre société, entreprise ou copropriété. (BAES/BAEH/AMBIENT)
Installation
APSAD R17, vérification, mis en conformité et maintenance du système de désenfumage conforme aux normes NF S61-933.
Nous assurons l'installation, la vérification et la maintenance de robinet d’incendie armé (R.I.A) conformes aux exigences des lois françaises et norme NF S62-201.
Un plan d’évacuation incendie défini clairement les accès d’évacuation dans un établissement en cas d’incendie. Affiché à l'entrée principale, il doit permettre une évacuation rapide et fluide.
Nous assurons l'entretien et la vérification de colonne sèche selon la norme NF S61-759. Avec des essais hydrostatique et hydraulique.
Vérification et entretien
d'alarme incendie (SSI)
70 % des entreprises touchées par un incendie ferment dans les mois qui suivent.
Depuis de 1985, nous offrons notre expertise auprès des entreprises et collectivités dans une formation incendie adapter au personnel susceptible d’intervenir lors d’un incendie.
Votre expert de la sécurité et protection incendie sur Marseille met son savoir-faire à votre disposition pour vous aider avec votre sécurité incendie.
France Protect (CFPI – Entreprise de sécurité incendie) sur vous propose des prestations pour répondre au mieux à tous vos besoins.
Nous mettons à votre service une équipe de techniciens professionnels de la sécurité incendie, dotés d’une solide expérience dans chacun des métiers liés à la détection et la prévention incendie, parce que la réglementation dans ce domaine est vaste et technique.
Une question ? Appelez-nous au 09 70 46 79 92
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Toujours à l'écoute, réactivité sur les devis, et rien à redire sur la maintenance et les travaux réalisés. Des pros."
Le désenfumage est crucial pour garantir la sécurité incendie dans les bâtiments, notamment à Marseille. Ce processus vise à évacuer la fumée en cas d'incendie, facilitant l'évacuation des occupants et l'intervention des secours. Il existe différents systèmes de désenfumage : mécanique et naturel.
Élément | Détail |
---|---|
Hauteur de commande RDC | Entre 1,5 m et 1,7 m |
Hauteur de commande étage | Entre 1,3 m et 1,5 m |
Distance des ouvrants du sol | Variable selon la conception, généralement à plus de 2 m du sol |
Commande (électrique/pneumatique) | Une commande par étage pour les systèmes électriques, tous les trois étages pour les systèmes pneumatiques |
Surface d'ouverture | Environ 1/100ème de la surface au sol du bâtiment |
Hauteur des trappes de désenfumage | Installées à 1,8 m de hauteur dans les corridors |
Vérification | Méthodologie : test des systèmes de commande et de déclenchement, vérification des ouvrants et des mécanismes de désenfumage. Période : annuelle |
Catégories ERP | Catégorie 1 : Au-delà de 1500 personnes<br>Catégorie 2 : De 701 à 1500 personnes<br>Catégorie 3 : De 301 à 700 personnesCatégorie 4 : Moins de 300 personnes |
Restrictions de compartimentage | 2 500 m² par compartiment en sous-sol, 8 000 m² en rez-de-chaussée |
La vérification régulière du système de désenfumage est obligatoire pour garantir son bon fonctionnement. En général, ces systèmes doivent être testés annuellement pour s'assurer que tous les composants (ouvrants, commandes, ventilateurs) fonctionnent correctement.
Les systèmes de désenfumage doivent également respecter les normes spécifiques aux ERP (Établissements Recevant du Public). Par exemple, les ERP de catégorie 1, pouvant accueillir plus de 1500 personnes, nécessitent des systèmes plus robustes et étendus par rapport aux ERP de catégorie 4, qui accueillent moins de 300 personnes.
Les obligations légales pour le désenfumage incluent des restrictions sur la taille des compartiments et des directives sur la disposition et l’installation des systèmes. Les compartiments dans les parkings souterrains, par exemple, ne doivent pas excéder 600 m².
Un fait intéressant concernant la sécurité incendie est que le premier système de désenfumage mécanique a été développé en réponse à un incendie majeur survenu à l'Opéra de Paris en 1873. Cet incident a incité les ingénieurs à concevoir des systèmes permettant une évacuation rapide de la fumée, améliorant ainsi considérablement la sécurité dans les théâtres et les grands bâtiments.
Les colonnes sèches sont des dispositifs essentiels pour la lutte contre les incendies, permettant aux pompiers d'accéder rapidement à l'eau dans les bâtiments de grande hauteur. À Marseille, leur installation et maintenance sont strictement réglementées.
Les colonnes sèches sont essentiellement des conduits vides qui permettent le transport rapide de l'eau depuis une entrée au niveau du sol vers divers points de distribution à travers un bâtiment.
Elles sont particulièrement utiles dans les immeubles de grande hauteur où le transport de l'eau par des tuyaux flexibles serait inefficace ou impraticable.
Élément | Détail |
---|---|
Hauteur restrictions RDC | 10 m |
Hauteur des bâtiments | R+4, HLM > 8 étages, > 18 m pour une échelle de pompier |
Réglementations | MS18-MS24 du règlement de sécurité de 1980 |
Méthodologie de vérification | Test de pression, inspection visuelle des composants, contrôle de l'intégrité des joints. Fréquence : annuelle |
Spécifications d'installation | Positionnée dans les escaliers ou à proximité des accès principaux |
Références | Code de la construction et de l'habitation, articles R.123-12 à R.123-23 |
Les colonnes sèches doivent être vérifiées au moins deux fois par an. Cette maintenance comprend des tests de pression pour s'assurer de l'étanchéité du système et de la fonctionnalité des raccords à chaque étage. Une inspection visuelle doit être réalisée pour détecter toute corrosion ou dommage physique qui pourrait affecter l'efficacité de la colonne.
L'usage des colonnes sèches remonte à l'époque où les premiers gratte-ciels ont été construits, permettant aux pompiers de combattre les incendies dans des bâtiments de plus en plus hauts sans avoir à traîner des tuyaux d'incendie lourds sur plusieurs étages.
Les alarmes incendie sont cruciales pour avertir les occupants d'un bâtiment en cas d'incendie. À Marseille, ces systèmes sont réglementés pour garantir leur efficacité dans les ERP.
Les systèmes d'alarme incendie sont conçus pour détecter et alerter les occupants d'un bâtiment en cas de détection de fumée ou de feu. Ils sont classés en plusieurs types selon leur complexité et leur portée.
Vous recherchez un expert dans le domaine de la protection incendie sur Marseille et alentours ? Faites confiance aux professionnels de France Protect.
Les systèmes d'alarme doivent être testés régulièrement pour garantir leur bon fonctionnement. Les ERP doivent avoir des alarmes conformes aux réglementations définies par le Code de la construction et de l'habitation.
Le premier système d'alarme incendie a été breveté par Francis Robbins Upton, un collaborateur de Thomas Edison, en 1890. Depuis, ces systèmes ont évolué pour inclure des détecteurs de fumée, des alarmes visuelles, et des systèmes d'alerte automatisés.
Type d'alarme | Détail |
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Type 4 | Alarme sonore uniquement, utilisée dans les petits ERP |
Type 3 | Alarme sonore et visuelle, utilisée dans les ERP de taille moyenne |
Type 2a et 2b | Alarme sonore, visuelle, et avec système de transmission d'alerte vers une centrale |
Type 1 | Alarme complète avec détection automatique et alerte centralisée, utilisée dans les grands ERP |
Catégories ERP | Catégorie 1 : >1500 personnes Catégorie 2 : 701-1500 personnes Catégorie 3 : 301-700 personnes Catégorie 4 : <300 personnes |
Nombre de personnes nécessitant une alarme | Obligation dès qu'il y a plus de 50 personnes dans un bâtiment |
Nouveau paragraphe
Élément | Détail |
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Catégories ERP | Catégories 1 à 4, chaque catégorie ayant des exigences spécifiques en termes de type et de nombre d'alarmes |
Références légales | Articles R123-43 du Code de la construction et de l'habitation |
Nombre de personnes | Une alarme incendie est requise pour chaque tranche de 100 personnes présentes dans le bâtiment |
Installation | Doit être réalisée par un professionnel certifié et vérifier régulièrement pour conformité et fonctionnalité |
Les extincteurs permettent d'éteindre les débuts d'incendie avant qu'ils ne se propagent. Ils sont classés par type de feu qu'ils peuvent éteindre : A, B, C, D, et F.
Un extincteur doit faire l’objet d'une vérification annuelle effectuée par une personne ou un organisme compétent, mais aussi d’une maintenance tous les 5 ans et d'une révision complète tous les 10 ans.
L'extincteur doit être marqué d'une étiquette clairement identifiable et plombé par la personne ou l’organisme ayant réalisé l'intervention.
Selon la norme NF S 61-919, les années et mois des vérifications doivent apparaître sur l'étiquette de l'extincteur.
Exemple de maintenance et vérification des extincteurs :
Le premier extincteur moderne a été inventé par George William Manby en 1818. Il s'agissait d'un réservoir de 3 gallons contenant une solution aqueuse sous pression.
Élément | Détail |
---|---|
Article R4227-29 | Imposant un extincteur pour 200 m² dans les locaux professionnels |
Hauteur de montage | 1,1 m du sol |
Distance entre extincteurs | Max. 15 m |
Types d'extincteurs | Eau pulvérisée, CO2, poudre, mousse |
Obligations par type de local | Bureaux : extincteurs à eau et CO2 ; Cuisines : extincteurs à poudre ou CO2 |
Vérifications | Inspection annuelle par un technicien certifié |
Les poteaux et bouches d'incendie fournissent une source d'eau pour les pompiers en cas d'incendie. Ils sont stratégiquement placés dans les zones urbaines et doivent respecter des normes spécifiques. À Marseille, leur installation est soumise à des réglementations précises pour garantir leur efficacité.
Les poteaux et bouches d'incendie doivent être inspectés régulièrement pour s'assurer de leur bon état et de leur disponibilité en cas d'urgence.
Les premiers poteaux incendie ont été installés à Londres au 19ème
Élément | Détail |
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Débit requis | Minimum 60 m³/h |
Pression | 1 bar |
Emplacement | À moins de 100 m de tout point d'accès principal du bâtiment |
Angle des sorties | 45° ou 90° selon les besoins |
Diamètre du poteau | 100 mm standard |
Présence de vanne de coupure | Obligatoire |
Socle | Avec ou sans |
Protection | Avec ou sans bouchons de protection |
Les BAES sont des dispositifs d'éclairage d'urgence permettant de guider les occupants vers les sorties en cas de coupure de courant lors d'un incendie.
Pour réaliser la vérification en conformité avec la norme
NF C 71-830
et la réglementation issue du code du travail des lois Française, nous vous proposons :
Élément | Détail |
---|---|
Durée de fonctionnement | Minimum de 1 heure |
Localisation | Corridors, escaliers, et sorties principales |
Sources d'alimentation | Doivent disposer de sources secondaires en cas de défaillance du système principal |
Références légales | Conformément à l'Article EC11 du règlement de sécurité contre l'incendie dans les ERP |
La société de sécurité incendie France Protect (CFPI groupe) vous propose la création de vos plans d'évacuation et d'intervention aux normes.
NF X08-070 de la réglementation Française, remplaçant la norme NF ISO 6790.
Le plan d'évacuation aide les personnes à suivre l'itinéraire d'évacuation. Il indique également l'emplacement des moyens d'alarmes et équipements de première intervention.
Un plan d’intervention incendie ce doit de faciliter le travail des secours, plus particulièrement les pompiers. Le plan doit être affiché à un endroit stratégique, comme l'indique la réglementation.
En cas de modification dans la configuration des bâtiments, il convient de mettre à jour les plans. France Protect vous aide à la conception de plan d’intervention incendie.
La formation incendie est essentielle pour préparer les employés à réagir efficacement en cas d'incendie, incluant l'utilisation des extincteurs et les procédures d'évacuation.
Élément | Détail |
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Obligation de formation | Conformément à l'Article R4227-28, tous les employés doivent être formés à l'utilisation des extincteurs et aux procédures d'évacuation |
Durée de la formation | Variable selon les besoins, généralement une demi-journée à une journée complète |
Certification | Les formations doivent être dispensées par des organismes certifiés Qualiopi ou Datadock |
Classes de matériaux | Formation sur l'utilisation de matériaux de classe M1 à M4 pour assurer une résistance au feu d'au moins une heure |
Le 20 avril 1988, un incendie majeur s'est déclaré dans la gare de Lyon à Paris. Grâce à l'efficacité des systèmes de désenfumage et à la formation rigoureuse des employés, les pompiers ont pu maîtriser l'incendie rapidement, sauvant de nombreuses vies et limitant les dégâts matériels. Cet incident a souligné l'importance de la sécurité incendie et a conduit à des améliorations significatives dans la réglementation française.
Les extincteurs à eau sont disponibles en 3 litres, 6 litres et 9 litres pour les matériaux de type classe A.
Ces extincteurs sont utilisés pour éteindre les début d'incendies du matériaux à base de papier, le bois et les textiles.
Ce type d'extincteur peut-être trouvé dans tous les bâtiments, les bureaux, les issues de secours, les magasins, etc.
La régulation Française indique que tous les équipements de sécurité incendie soient maintenus et entretenue régulièrement par une person qualifiée conformément à la norme NF S 61-919, une fois par ans et avec un entretien prolongé tous les cinq ans.
Les extincteurs à eau sont disponibles en 1 kg, 2 kg, 6 kg et 9 kg pour les incendie de type classe A, B, C, D et les incendies électriques.
Ces extincteurs sont utilisés pour éteindre les début d'incendies du matériaux à base de papier, le bois, les textiles, liquides ou solides liquéfiables, gaz et les feux d'équipements électriques.
Ce sont des extincteurs les plus rapides en matière d’extinction de feu.
Ce type d'extincteur peut-être trouvé dans tous les bâtiments, les bureaux, les issues de secours, les magasins, garage, parking, local poubelle, station service, chaufferie etc.
La régulation Française indique que tous les équipements de sécurité incendie soient maintenus et entretenue régulièrement par une person qualifiée conformément à la norme NF S 61-915, une fois par ans et avec un entretien prolongé tous les cinq ans.
Les extincteurs Co2 sont disponibles en 2 kg, 6 kg et 9 kg pour les incendie de type classe A et B.
Ces extincteurs sont utilisés pour éteindre les début d'incendies du matériaux à base de papier, bois, papier, textiles, huile, essence, alcool et les feux d'équipements électriques.
Ce sont des extincteurs les plus rapides en matière d’extinction de feu.
Ce type d'extincteur peut-être trouvé dans tous les bâtiments, les bureaux, les issues de secours, les magasins, garage, parking, local poubelle, station service, chaufferie etc.
La régulation Française indique que tous les équipements de sécurité incendie soient maintenus et entretenue régulièrement par une person qualifiée conformément à la norme NF S 61-90, une fois par ans et avec un entretien prolongé tous les cinq ans.
L'article R4227-29 du code du travail français détermine des obligations concernant la présence d'extincteurs au sein des établissements.
Il est indiqué qu'il est obligatoire d'avoir au moins un extincteur portatif à eau pulvérisée de 6 litres minimum pour 200 m2 de plancher avec un appareil minimum par niveau.
La lois indique qu'une vérification annuellement soit faite pour chaque extincteur, et doit être réalisée par l'installateur ou par un vérificateur agréé.
Si vous voulez faciliter cette vérification annuelle, vous pouvez mettre en place un contrat d'entretien d'un à trois ans.
Les contrat proposer de plus de 3 ans sont actuellement illégaux.
Si vous voulez faciliter une vérification annuelle, vous pouvez mettre en place un contrat d'entretien d'un à trois ans.
Procédure de maintenance et vérification des extincteurs:
Procédure de maintenance et vérification.
1. Contrôle hydraulique.
Un essai hydrostatique à débit nul doit être effectué tous les ans. Un essai hydraulique en régime d'écoulement doit être effectué au moins une fois tous les cinq ans. Toutefois toute intervention ou évènement technique survenu sur la colonne sèche doivent faire l'objet d'une nouvelle réception.
2. Essai hydrostatique (débit nul).
L'essai hydrostatique à débit nul a pour but de déceler d'éventuelles fuites, des défaillances sur les pièces constituantes et toute autre anomalie nécessitant une opération de réparation. Il s'effectue dans les conditions suivantes:
1. À débit nul à la pression d'épreuve de 16 bar au niveau de l'alimentation de la colonne ;
2. Sous eau exclusivement ;
3. Pendant 20 minutes minimum ;
4. Pour une installation neuve, une pression d'épreuve de 25 bar au niveau de l'alimentation de la colonne pendant 20 minutes.
L'appareillage utilisé doit être équipé d'un dispositif de sécurité évitant toute surpression supérieure à la pression d'épreuve. À l'issue de cet essai aucune fuite ni déformation permanente de la colonne et de ses éléments constitutifs ne doivent être constatées.
3. Essai hydraulique en régime d'écoulement.
L'essai hydraulique en régime d'écoulement permet de déceler la présence d'éventuels corps étrangers ou de réduction de passage dans la colonne, des défaillances sur les pièces constituantes et toute autre anomalie nécessitant une opération de remise en conformité.
Il convient pour cela de vérifier que le débit nominal/minimal de la colonne peut toujours être atteint jusqu'à la prise la plus défavorisée.
L'essai s'effectue exclusivement en eau, à une pression maximale de 15 bars au niveau de l'alimentation de la colonne. En cas d'insuffisance, il doit déclencher une recherche de cause(s) aboutissant à une recommandation d'élimination de l'insuffisance.
Cette recommandation est à émettre par la ou les personnes compétentes à l'adresse du propriétaire ou de l'exploitant.
4. Rapport des essais hydrauliques.
À l'issue des essais hydrauliques, la ou les personnes compétentes consigneront leurs constatations et résultats d'essais sur un rapport à insérer dans le registre de sécurité.
Ce rapport devra être adressé à la personne responsable. Ce document devra au moins contenir les informations suivantes:
1. Le nom et prénom de la ou des personnes compétentes, éventuellement complété par le nom de la personne morale si tel est le cas ;
2. L'adresse de l'installation ;
3. La date de l'essai ;
4. Le nom de la personne responsable ou de son représentant ;
5. L'état du raccord d'alimentation, l'écartement des demi-coquilles (serré, écarté, normal) du raccord d'alimentation ;
6. La présence du bouchon et de son dispositif de fixation sur le raccord d'alimentation ;
7. L'accessibilité du raccord d'alimentation vers le bas ;
8. La présence du panneau de signalisation ;
9. L'état des purges d'air (si existantes), y compris la présence de leur bouchon ;
10. L’état des dispositifs de vidange ;
11. L'état des prises d'incendie, la présence des bouchons et de leurs dispositifs de fixation, l'écartement ou le serrage des demi-coquilles ;
12. Le débit et la pression mesurés ;
13. Les recommandations d'opérations correctives de réparation et/ou de remplacement de pièces constituantes défaillantes ou absentes.
14. Compléter le registre de sécurité.
Si le vérificateur constate que la colonne n'est plus opérationnelle, il doit prévenir le jour même simultanément le Centre Opérationnel Départemental d'Incendie et de Secours et la personne responsable du bâtiment ou son représentant et confirmer par écrit cette information dans un délai de 24h ouvrables. Deplus, sur site, la colonne doit être identifiée comme étant hors d'usage.
Une surveillance annuelle doit être réalisée par du personnel compétent ou par une entreprise certifié.
Chaque R.I.A doit comporter une étiquette collée sur laquelle sont portées la date de chaque visite et l’identification de l’intervenant.
1. Procédure de maintenance et vérification.
• Vérifier que chaque R.I.A est accessible, visible et comporte de façon lisible les instructions de fonctionnement ;
• L’étanchéité et le parfait état de toutes les parties mécaniques ;
• La mise en eau des R.I.A, pour qu’ils soient prêts à l’utilisation ;
• Essai en pression supérieure à 2,5 bars au R.I.A le plus défavorisé ;
• Vérification du robinet diffuseur pour l’angle de diffusion et la portée ;
• Essai de résistance à la pression ;
• Vérification du pivotement ou rotation du R.I.A ;
• Vérification des marquages (conformité, mode d’emploi, maintenance) ;
• Vérification de l’absence de dégradation et corrosion de l’appareil ;
• Vérifier le fonctionnement des vannes de barrage, contre-barrage, et tous les organes mécaniques de l’installation ;
• Vérifier le fonctionnement des pompes et noter:
o Le point de consigne de démarrage ;
o Le point de consigne d’arrêt ;
o La pression à débit nul ;
o La pression avec dispositif d’essai ouvert ou au débit minimum requis.
• Vérifier, pour les réservoirs d’eau et noter selon leur nature (réserve d’eau haute pression ou sous pression) :
o Le niveau requis de l’eau ;
o La propreté de l’eau ;
o Le fonctionnement des manomètres ;
o La visibilité des tubes de niveau ;
o Le fonctionnement des alarmes de niveaux.
• Vérifier sur le réseau d’alimentation ou de réalimentation des sources :
o l’étanchéité du réseau ;
o le fonctionnement des manomètres ;
o la pression disponible requise ;
o le fonctionnement des robinets flotteurs, s’ils existent.
• Vérifier sur le réseau de distribution le fonctionnement du ou des manomètres situés en amont du ou des R.I.A :
o Relever la pression indiquée (statique).
• Vérifier sur le réseau de distribution le fonctionnement du ou des manomètres situés en amont du ou des R.I.A ;
• Vérifier le fonctionnement en eau à plein débit du R.I.A le plus défavorisé et simultanément d’un autre R.I.A, différent chaque trimestre, jusqu’à écoulement d’une eau claire ;
• Test de fonctionnement des vannes amont du robinet d’arrêt ;
• Vérification du fonctionnement du manomètre si présent ;
• Consigner la vérification sur le registre de sécurité incendie ;
• Établir un rapport annuel de vérification.
2. Procédure de maintenance annuelle.
Elle consiste à réaliser, en plus de la surveillance trimestrielle, les opérations suivantes :
• Vérifié cas échéant, le fonctionnement du (des) disconnecteur(s) et s’assurer que la périodicité de se maintenance est en conformité avec la règlementation ;
• Vérifié et noté la pression du manomètre au R.I.A le plus défavorisé ;
• Vérifié le fonctionnement de chaque R.I.A (sous pression et débit), tuyau complétement déroulé ;
• Vérifié l’état de la tuyauterie d’alimentation : il convient de vérifier tout particulièrement qu’aucun tuyau flexible ne présente de signe de détérioration ou d’usure ;
• Vérifié, dans le cas ou ils existent, l‘état des dispositifs anti-béliers
• Vérifié l’état interne des réservoirs sous pression et procéder à leur nettoyage.
Lorsque l’installation est alimentée par un réseau raccordé sur la nourrice d’une installation d’extinction automatique à eau, type sprinkleur, il sera nécessaire de respecter les exigences de surveillance et d’entretien définies par la règle APSAD R1. Des précautions particulières doivent êtres prise pour s’assurer de la remise en service correcte des groupes motopompes diesel.
Effectuer les vérifications suivantes ainsi que les travaux d’entretien qui en découlent éventuellement.
1. Vérifier le fonctionnement en eau (essai de pression) :
• Du R.I.A le plus défavorisé en intercalant un appareil de contrôle à la lance et s’assurer que la pression relevée est au moins égale ou supérieure à 2,5 bars, robinet diffuseur ouvert ;
• Selon l’importance de l’installation, en alternant les R.I.A à chaque visite, que l’eau coule claire au terme des essais.
2. Vérifié l’état du compresseur d’air s’il existe :
• Le refroidissement, le niveau d’hile ou la vidange ;
• L’état des courroies, la vidange de l’eau du réservoir.
3. Vérifié l’état des presse-étoupe des pompes selon te type et vérifier le débit de fuite pour le refroidissement et le lubrification ;
4. Vérifié l’état visuel et fonctionnel de l’armoire électrique de commande ;
5. S’il(s) existe(net), vérifier le fonctionnement du (ou des) dispositif(s) de protection contre le gel.
Procédure de maintenance quinquennale.
Elle consiste à réaliser, en plus de la annuelle les opérations suivantes :
• Nettoyer et entretenir tous les réservoirs ;
• Soumettre tous les tuyaux des R.I.A à la pression de service maximale ;
• Changer tous les joint d’étanchéité de chaque R.I.A.
Procédure de maintenance décennale.
• Effectuer des opérations de vérifications :
o Trimestrielles ;
o Annuelles ;
o Quinquennales.
• Contrôler l’état interne des tuyauteries par prélèvement pour analyse, des manchettes prévues à cet effet.
Inspection.
Le bon fonctionnement de l'installation doit être vérifié au moins une fois par an par une entreprise compétente à travers une simulation et des inspections techniques.
Les inspections techniques comprennent au minimum :
- le contrôle de l'état des liaisons mécaniques, pneumatiques ou électriques ;
- la vérification de l'accessibilité aux dispositifs de commande ;
- la vérification de l'intégrité du dispositif de commande (scellé présent) ;
- la vérification de fonctionnement des dispositifs d'évacuation naturelle de fumées et de chaleur ;
- les opérations décrites dans les fiches techniques des fabricants ;
- les contrôles des alimentations de sécurité ;
- examen des documents d'exploitation (dossier technique, registre de sécurité) ;
- inspection visuelle de l'installation ;
- vérification fonctionnelle de l'installation.
A l'issue des vérifications annuelles, un rapport de sécurité incendie sur la maintenance et la vérification du bon fonctionnement doit être établi et enregistrer dans le registre de sécurité.
Vérification périodique des installations de désenfumage
1. Fonctionnement des commandes.
Test des commandes manuelles (commandes locales, ou centralisées depuis l'UCMC 1 ou le DCS 2 ou le DCMR 3 selon la catégorie de SSI 4) :
escaliers encloisonnés, grands locaux et locaux à risques particuliers d'incendie.
• cohérence d'identification de chaque commande avec sa zone de désenfumage.
• ouverture simultanée des extractions et amenées d'air d'une même zone de désenfumage (sauf portes).
• manoeuvre des portes (amenée d'air) et fenêtres (classes) utilisées pour le désenfumage.
• présence d'une réserve suffisante de fournitures de réarmement (cartouches de gaz comprimé).
2. Test des commandes automatiques (par détecteur automatique d'incendie relié au SSI, par DAD 5) :
couloirs encloisonnés, grands locaux et locaux à risques particuliers d'incendie.
• cohérence d'identification de chaque commande avec sa zone de désenfumage
• ouverture simultanée des extractions et amenées d'air d'une même zone de désenfumage (sauf portes)
• inhibition du déclenchement automatique dans les zones de désenfumage impliquant le même réseau.
3. Fonctionnement des volets, exutoires et ouvrants de désenfumage.
Test d'ouverture complète, de refermeture, de réarmement :
Test de l'alimentation pneumatique de sécurité :
4. Fonctionnement des éléments mobiles de compartimentage participant à la fonction « désenfumage ».
Test de mise en oeuvre des écrans mobiles de cantonnement (déclenchement, atteinte de la position de sécurité, réarmement) :
5. Arrêt de la ventilation de confort ne participant pas au désenfumage (autre que VMC).
Test de la commande manuelle.
Test de la commande automatique : depuis le CMSI, le DAD de chaque centrale de traitement d'air.:
6. Fonctionnement des ventilateurs de désenfumage (extraction, amenée d'air, mise en surpression).
Test de la commande manuelle.
Test de la commande automatique : depuis le CMSI, le DAD de chaque centrale de traitement d'air.:
8. Tenue du registre de sécurité.
Opérations de maintenance et d'exploitation.
Vous allez bientôt ouvrir un établissement recevant du public (ERP)? Vous avez quelques obligations à remplir pour la sécurité incendie et de formations.
L’obligation de former ses salariés à la sécurité incendie relève des articles suivants :
R4227-28 du Code du travail :
« l’employeur prend les mesures nécessaires pour que tout commencement d’incendie puisse être rapidement et efficacement combattu dans l’intérêt du sauvetage des travailleurs. »
R4227-39 du Code du travail :
« le devoir, pour toute personne apercevant un début d’incendie, de donner l’alarme et de mettre en œuvre les moyens de premiers secours, sans attendre l’arrivée des travailleurs spécialement désignés. »
« la consigne de sécurité incendie prévoit des essais et visites périodiques du matériel et des exercices au cours desquels les travailleurs apprennent à reconnaître les caractéristiques du signal sonore d’alarme générale, à se servir des moyens de premier secours et à exécuter les diverses manœuvres nécessaires. Ces exercices et essais périodiques ont lieu au moins tous les 6 mois.»
Vous êtes donc dans l’obligation de former vos salariés à la sécurité incendie afin de répondre en cas d’incident de manière rapide et efficace.
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